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Ça avait commencé par un beau chrono sur le Nurburgring.sacrèe durée de vie, en même temps la Nismo à la fin à 200 000 euros![]()
Röhrl apprécie la Nissan 300ZX
Changement de véhicule, c'est maintenant au tour de la Nissan 300ZX. Elle est propulsée par un six cylindres de trois litres, auquel deux turbocompresseurs assurent la puissance nécessaire (comme d'ailleurs sur les deux autres voitures japonaises). Röhrl est déjà séduit par la position de conduite. « On est bien assis, le volant et le levier de vitesse sont dans bien placés ». Le moteur de 283 ch (208 kW) plaît également au Bavarois : « Pour un turbo, il réagit bien, de manière harmonieuse dès les bas régimes » - rien d'étonnant à cela, les deux turbos interviennent de manière séquentielle, c'est-à-dire l'un après l'autre. L'un un peu plus tôt, l'autre dans la plage de régime supérieure.
« La maniabilité est bonne. Sans puissance, elle a tendance à sous-virer, à glisser des roues avant. Avec de la puissance, cela se corrige rapidement, jusqu'à ce que l'arrière sorte ». Pour ce professionnel hors pair, il est clair après quelques tours sur le circuit de 2,2 km : « Une fois que la synchronisation entre le pied sur l'accélérateur et le volant est établie, il n'y a plus de problème. Il devrait être clair pour tout le monde que l'on ne peut pas passer toute la puissance au sol avec une propulsion ». Est-ce que l'on sent les quatre roues directrices de la ZX sur une route mouillée ?
«Pas moi ! On perd l'adhérence si tôt qu'on se fout de la position dans laquelle se trouvent les roues. Sur route sèche, c'est certainement différent». C'est vrai, là, la Nissan a prouvé depuis longtemps ses qualités de voiture extrêmement stable en termes de trajectoire.